Alors que la consommation finale d’énergie du secteur résidentiel n’a augmenté que de 1,7 % entre 2002 et 2013, la consommation d’électricité a explosé sur cette même période, avec une hausse de l’ordre de 23,7 %, et ce malgré des appareils de moins en moins énergivores !
En cause, la multiplication du nombre d’équipements électriques au sein des foyers, l’augmentation de leur dimensionnement et de leur durée d’utilisation, mais aussi des usages pas toujours très économes. Quelles sont les solutions pour alléger ces factures sans pour autant changer de mode de vie ?
Le chauffage et l’eau chaude représentent à eux deux près de 75 % des dépenses d’énergie d’un foyer français. Réduire la consommation d’électricité liée à leur fonctionnement est donc un enjeu crucial pour diminuer le coût de votre facture.
Il existe de nombreux moyens efficaces pour réduire votre facture de chauffage en baissant la consommation moyenne d’une chaudière électrique : renforcer l’isolation thermique de votre domicile, régler la température à une valeur adéquate, entretenir correctement vos équipements…
De la même manière, des gestes simples permettent de réduire le coût de votre facture dû au chauffe-eau de façon significative. Privilégier les douches aux bains, régler la température du ballon d’eau chaude entre 55 et 60 °C ou encore installer de petits équipements visant à réduire sa consommation d’eau diminuent ainsi la facture de façon substantielle.
La cuisson représente en moyenne 7 % des dépenses d’énergie des ménages. Pourtant, plusieurs astuces permettent de réduire sans effort votre consommation d’énergie en cuisine. Penser à couvrir vos casseroles et à utiliser des plaques de cuisson appropriées selon la taille des ustensiles vous permettra par exemple une économie non négligeable.
Il est également important d’adapter vos ustensiles à vos habitudes de cuisson :
Pour faire bouillir de l’eau, privilégiez la bouilloire, peu vorace en énergie.
Pour réchauffer vos plats, le four à micro-ondes consommera moins qu’un four classique.
Pour cuire vos légumes, la cocotte minute sera jusqu’à 60 % plus économe que les casseroles.
De même, si vous avez souvent recours à vos plaques de cuisson sur de courtes durées, optez plutôt pour la cuisson par induction. Les plaques à induction chauffant beaucoup plus vite, elles offrent une économie de courant d’environ 30 % par rapport aux surfaces vitrocéramiques et 50 % par rapport aux plaques classiques.
Si vous êtes plutôt un adepte de la cuisson au four, préférez un four à chaleur tournante permettant de cuire plusieurs plats en même temps. Un four combiné (four + micro-ondes) réduira par ailleurs votre consommation d’électricité de 66 à 75 %.
Enfin, une plaque ou un four continuant de chauffer après avoir été éteints, exploitez cette chaleur lors des cuissons longues en les éteignant quelques minutes avant la fin de cuisson.
Totalisant entre 17 et 20 % des dépenses d’énergie d’un foyer moyen, l’électricité spécifique, c’est-à-dire l’électricité utilisée pour des services ne fonctionnant qu’avec cette énergie, est le deuxième poste de consommation des foyers après le chauffage. Considérant l’augmentation du prix de l’électricité, sa part en constante croissance fait de la réduction des dépenses lui étant allouées un enjeu financier essentiel. Pour cela plusieurs solutions s’offrent à vous.
La rénovation est un projet adaptable selon l’ampleur des travaux, et n’implique pas obligatoirement des dépenses onéreuses. Qu’il s’agisse de travaux d’isolation, chauffage ou autres types de rénovation, une partie ou la totalité de l’installation peut être directement prise en charge par le particulier. En tout cas, avant de commencer à rénover, vous devez apprendre quelques bases pour que tout se passe bien, et dans cet article, on répond aux questions les plus importantes.
Les travaux de rénovation consistent à réparer les dommages ou les défauts causés par l’usure. Selon votre savoir-faire, vous pouvez aujourd’hui effectuer vous-même une grande partie des travaux de rénovation en cours. Cela est particulièrement vrai pour les travaux de beauté et d’entretien, tels qu’un nouveau sol, un nouveau papier peint ou une nouvelle peinture pour les murs. Il est tout de même recommandé de s’informer correctement sur les normes d’installation et suivre également les conseils des professionnels avant d’entamer les travaux.
Pour certains travaux, cependant, on pense que vous devriez toujours solliciter l’aide ou l’intervention de professionnels dans la maison. En effet, la plupart des travaux qui entrent dans le cadre d’une rénovation doivent absolument être effectués par un professionnel, et c’est particulièrement recommandé pour les installations électriques, la pose de tuyaux ou les travaux qui ont une influence directe sur la structure du bâtiment. L’intervention d’un expert pourra d’ailleurs identifier les éventuelles failles ou incompatibilités à l’intérieur de la maison pour un montant relativement modeste.
Dans le cas où une pièce doit être entièrement rénovée du sol au plafond, les meubles doivent bien sûr être temporairement entreposés dans une autre pièce.
En règle générale, la pièce à rénover est d’abord remise dans son état d’origine dans la mesure nécessaire aux travaux de rénovation souhaités. Il s’agit, par exemple, d’enlever le papier peint, d’arracher l’ancien plancher ou de retirer les chevilles du mur. Le papier peint d’ingrain, par exemple, peut souvent être simplement repeint avec la couleur de votre choix, dans ce cas, vous devez d’abord faire attention aux différents effets de couleurs.
Dans la pièce elle-même, vous travaillez ensuite votre chemin de haut en bas, pour ainsi dire, vous vous occupez d’abord du plafond, puis des murs et enfin du sol. Ainsi, la rénovation se fait généralement selon les étapes suivantes :
L’énergie thermique solaire est l’utilisation de l’énergie venant du soleil pour la production d’eau chaude ou pour le chauffage d’appoint. En ce qui concerne l’efficacité économique de l’énergie thermique, il existe deux méthodes de calcul. Il existe en fait deux façons d’aligner votre énergie thermique, soit vous décidez de laisser le système solaire thermique chauffer uniquement l’eau chaude, soit vous l’utilisez pour tout le système de chauffage, y compris l’eau des radiateurs des pièces.
Il une méthode de calcul sur l’efficacité économique de cette puissance thermique envoyée par le soleil étape par étape :
En plus des aspects financiers, de nombreuses parties intéressées sont également intéressées par les économies de CO2. Et à juste titre, le CO2 est considéré comme nuisible au climat et est en partie responsable du réchauffement de la planète. La combustion des combustibles fossiles (pétrole et gaz) émet beaucoup de CO2. Le problème, c’est que ce CO2 a été lié pendant plusieurs milliers d’années, mais que lorsqu’il est brûlé, il est libéré en quelques instants. L’accès à ces ressources devient de plus en plus difficile. Une grande partie des combustibles fossiles sont donc déjà brûlés depuis quelques générations. Le climat mondial ne peut pas bien supporter ce choc du CO2. Le réchauffement climatique se produit, ce qui entraîne le danger de catastrophes naturelles telles que les sécheresses, les tempêtes et la fonte des pôles.
Dans les trois cas, les plaques sont habituellement plates, d’une surface approchant plus ou moins 1m2 pour faciliter et optimiser la pose. Les plaques sont les composants de base de la plupart des installations de captation de puissance.
Les capteurs thermiques. Ils sont rentables dans les régions très ensoleillées, même sous des latitudes élevées (nord de la France, Belgique, Canada, etc.).
Ils sont plus rentables dans les régions très ensoleillées, bien que la chaleur nuise au rendement des capteurs. Cela explique l’engouement des pays du sud de l’Europe (Italie, Portugal, etc.), à la fois grands consommateurs et grands producteurs potentiels, pour l’installation de grandes centrales. Le rendement des plaques photovoltaïques est défini comme la part du rayonnement transformée en électricité. Il varie de 6 à 8 %2 pour les plaques en silicium amorphe à 46 % pour les cellules les plus performantes obtenues en laboratoire. La moyenne se situe actuellement à 14,5 %.
La plupart des composants d’un module (jusqu’à 95 % de certains matériaux semi-conducteurs), tout le verre et de grandes quantités de métaux ferreux et non ferreux peuvent être récupérés et recyclés. Certaines entreprises privées et des organismes sans but lucratif dans l’Union européenne, mettent en place des systèmes de collecte et de recyclage pour les plaques photovoltaïques en fin de vie. En France, depuis la fin août 2014, dans le cadre de la responsabilité élargie du producteur, fabricants, importateurs et revendeurs sont tenus de reprendre, en plus des déchets électroménagers classiques (DEEE), les plaques photovoltaïques usagés, gratuitement et sans obligation d’achat. Ces entreprises ont obligation de financer et de collecter le traitement de ces nouveaux déchets, sans période de transition, ce qui se traduit par une éco participation sur chaque nouveau capteur photovoltaïque vendu. Plusieurs enquêtes et l’Union européenne ont cependant estimé que les deux tiers des déchets de cette nature n’arrivent jamais aux centres de retraitement agréés, mais finissent en décharge ou à l’étranger.
Les châssis en aluminium et les boîtes de jonction sont démontés manuellement au début du processus. Le module est ensuite broyé. Les différentes fractions résultant de ce processus sont des métaux ferreux et non ferreux, du verre et du plastique avec un quota moyen de recyclage proche de 80 % (poids d’entrée). Par exemple, le verre provenant des plaques photovoltaïques est mixé avec du verre standard pour être réintroduit dans le secteur de la fibre de verre ou de l’isolation. Ce processus peut être effectué par les recycleurs de verre plat, étant donné que la morphologie et la composition d’un module PV sont semblables à celles du verre plat utilisé dans l’industrie du bâtiment et de l’automobile.
Des technologies propres au recyclage des plaques photovoltaïques sans silicium ont été développées. Certaines utilisent un bain chimique pour délaminer et séparer les différents composants des panneaux photovoltaïques. Pour les panneaux en tellurure de cadmium, le processus de recyclage commence par l’écrasement du panneau, aboutissant à une séparation ultérieure des différentes fractions. Ce processus permet de récupérer jusqu’à 90 % du verre et 95 % des matériaux semi-conducteurs. Dans les années 2010, plusieurs installations de recyclage ont été créées par des entreprises privées.
Les batteries doivent aussi être recyclées. Si beaucoup d’installations photovoltaïques sont connectées au réseau électrique, certaines fonctionnent en autonomie. L’énergie produite le jour est stockée dans des batteries spéciales (qui se déchargent plus progressivement et supportent mieux les décharges fréquentes peu profondes, avec un régulateur installé entre la batterie et le module) et parfois dans des batteries proches de celle des voitures. Une batterie a une durée de vie de quatre à cinq ans (sept à quinze ans pour certains modèles récents et contient des métaux et produits précieux et/ou toxiques (plomb et acide communément). Pour un panneau photovoltaïque pouvant durer 25 ans, il faudra recycler deux à six fois les batteries (avec les technologies actuelles).
Téléphones portables, téléphones sans fil, radars, mâts de téléphonie mobile et appareils WLAN : ils ne fonctionnent que grâce aux micro-ondes. Mais ce sont précisément ces micro-ondes, également connues sous le nom de rayonnement des téléphones portables, qui sont depuis longtemps soupçonnées de présenter un risque sanitaire à long terme.
Des études ont montré les risques pour la santé, en particulier les effets à long terme des micro-ondes. Mais les hommes politiques restent silencieux, et les entreprises et l’industrie font en sorte que cela reste ainsi.
Le sentiment le plus fort a été lorsque l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé les radiations des téléphones portables comme « potentiellement cancérigènes ». Cependant, le mot « éventuellement » semble être une pure moquerie au vu de l’état de la recherche internationale.
L’évaluation de l’OMS s’est basée sur les résultats de l’étude Interphone du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Il en résulte qu’il n’y a pas eu de risque accru de tumeurs chez les adultes ayant une utilisation moyenne du téléphone portable.
Dans le même temps, il a toutefois été admis que les radiations des téléphones portables pouvaient être nocives pour la santé lorsqu’ils sont utilisés de manière intensive et également à long terme.
N’est-il pas paradoxal que, d’une part, le feu vert soit donné, mais que, d’autre part, un danger éventuel soit néanmoins signalé ? Cet écart peut-il être dû au fait que l’étude Interphone n’a été possible au départ que grâce à l’industrie de la téléphonie mobile ? L’industrie a transféré 5,5 millions d’euros sous la forme d’une petite injection financière.
La crédibilité de l’étude Interphone peut donc certainement être mise en doute. D’autre part, l’analyse de l’étude par les scientifiques permet d’avoir une vision neutre et extrêmement complète des risques liés aux rayonnements micro-ondes. Ils se sont concentrés exclusivement sur les études sans aucun doute et ont exclu les études ambiguës.
Comme l’effet cancérigène ne devient généralement visible qu’après une exposition à long terme, l’accent a été mis sur l’effet à long terme. En évaluant une centaine d’études, il est rapidement apparu que les effets des rayonnements micro-ondes étaient connus bien avant que les téléphones portables ne se transforment en un phénomène de masse.
Par exemple, un grand nombre de données militaires et professionnelles ont montré que l’exposition à long terme aux micro-ondes peut jouer un rôle important dans le développement du cancer et d’autres affections.
Sur environ 128 000 soldats polonais, ceux qui ont été exposés à un radar à micro-ondes pendant environ 10 ans dans les années 70 ont eu un taux de cancer 5,5 fois plus élevé que les soldats non-exposés. Le radar est utilisé par l’armée, par exemple, pour surveiller le trafic aérien et maritime.
En outre, une augmentation significative de l’incidence du cancer a également été observée chez les pilotes de ligne et les policiers. Par exemple, une étude de l’université de Washington a montré que dans un groupe de 340 policiers de Seattle entre 1979 et 1991, l’incidence du cancer des testicules était 18 fois plus élevée que dans la population normale.
Le seul facteur de risque commun était l’utilisation de combinés radar. Tous les policiers concernés avaient l’habitude de transporter leur appareil radar dans la poche de leur pantalon, c’est-à-dire à proximité immédiate de leurs testicules.
Cependant, alors qu’avant l’ère du téléphone portable, les gens entraient en contact avec les micro-ondes de manière aggravée, notamment en raison de leur profession, aujourd’hui, pratiquement tout le monde est touché par ce phénomène. Il n’est pas étonnant que le nombre de cancers des testicules augmente d’année en année.
Diverses études ont montré que l’utilisation à long terme de téléphones mobiles et sans fil (10 ans ou plus) augmente le risque de développer une tumeur cérébrale.
Il est effrayant de constater qu’avec une période d’utilisation de plus de 5 ans dans tous les groupes d’âge analysés (20 à 80 ans), le risque le plus élevé de développer une tumeur cérébrale a été constaté dans le groupe le plus jeune, à savoir les utilisateurs de téléphones portables âgés de 20 à 29 ans.
En conclusion, le danger augmente à mesure que les personnes entrent en contact avec les radiations des téléphones portables.
Il est intéressant de noter que cet effet était soit inexistant, soit considérablement réduit lorsque les téléphones portables ont été utilisés pendant une courte période. Les tumeurs cérébrales font donc partie des effets à long terme de l’utilisation des téléphones portables.
Mais vous n’avez pas besoin de passer un coup de fil pour être en danger.
Au cours des dernières décennies, plus de 1,5 million de stations de base ont été installées dans le monde entier. Cependant, l’OMS a préféré se concentrer sur les effets des téléphones mobiles. Cela explique parfois pourquoi il n’existe pas tant d’études sur les rayonnements émis par les émetteurs.
Toutefois, un certain nombre d’études sur cette question a déjà indiqué que les émetteurs présentaient un risque pour la santé.
Des scientifiques allemands ont finalement réalisé une étude comparative des cas de cancer, l’étude dite Naila. L’étude s’est concentrée sur les habitants de l’État libre de Bavière qui vivaient dans un rayon allant jusqu’à 400 mètres d’une station de base ou plus de 400 mètres de celle-ci.
Parmi les résidents vivant à proximité des stations de base, le taux de cancer a été multiplié par 1,26 au cours des cinq premières années par rapport au groupe de contrôle, ce qui peut sembler peu, mais au cours de la deuxième période d’observation de cinq ans, le facteur mentionné a triplé, c’est-à-dire que les cas de cancer ont augmenté de manière significative.
Il ne faut pas oublier que les rayonnements mobiles peuvent également entraîner de nombreux autres problèmes de santé.
Des recherches ont aussi montré que les personnes qui vivaient près d’une station de base (jusqu’à 300 mètres) étaient beaucoup plus touchées que le groupe témoin qui vivait dans une zone plus éloignée.
Plus la station de base était proche, plus des plaintes étaient prononcées et fréquentes. Les raisons pour lesquelles les micro-ondes peuvent entraîner toutes sortes de symptômes ou de maladies font l’objet de discussions controversées. Cependant, le métabolisme cellulaire semble jouer un rôle important.
Dans l’organisme, tous les processus vitaux ne peuvent se dérouler sans heurts que si le métabolisme cellulaire fonctionne correctement. Mais si le métabolisme cellulaire est perturbé, le corps tombe malade.
Les radicaux libres sont une caractéristique essentielle du métabolisme cellulaire. Bien que ces derniers soient d’une grande importance pour divers processus biologiques, ils peuvent, s’ils sont présents en excès, également causer des dommages cellulaires qui peuvent, par exemple, déclencher une maladie tumorale.
Diverses études ont maintenant montré que les micro-ondes entraînent une augmentation significative des radicaux libres dans les cellules. Des chercheurs australiens ont, par exemple, irradié du sperme humain avec des micro-ondes et ont constaté une diminution significative de la motilité et de la vitalité du sperme.
Ce qui est effrayant, c’est que ces effets se sont également produits lorsque la limite supérieure de la DAS de 2,0 W/kg recommandée par l’OMS a été considérablement abaissée.
La valeur du DAS est l’énergie de rayonnement d’une antenne de téléphone portable absorbée par les tissus corporels en watts par kilogramme. Plus la valeur du DAS est faible, moins les tissus sont chauffés par les radiations.
Cependant, ces dernières années, selon des scientifiques, plus de 50 études indépendantes ont montré que même un faible rayonnement micro-ondes peut endommager l’ADN.
Les chercheurs de l’Institut de pathologie ont résumé les effets à long terme du rayonnement micro-ondes :
« Il existe déjà suffisamment de données plausibles pour prouver que l’exposition à long terme aux micro-ondes peut favoriser l’apparition de tumeurs et d’autres maladies, même si l’intensité du rayonnement est faible ».
Il a également été recommandé de réduire l’exposition quotidienne au rayonnement des micro-ondes.
Vous pouvez y parvenir à la maison, par exemple, en n’allumant votre appareil WLAN que lorsque vous l’utilisez réellement. Et votre téléphone portable doit également rester éteint la nuit.
Le choix de boissons qui est proposé est plus que varié. Mais le désaltérant le plus important reste l’eau. Qu’elle soit gazeuse ou non, elle rafraîchit et fournit de l’énergie. Mais avez-vous également des difficultés à boire la quantité d’eau quotidienne souhaitée ? De l’eau avec du goût peut être utile ici.
On trouve aussi de l’eau avec du goût dans le supermarché d’à côté, mais celle-ci contient beaucoup de sucre et a souvent un goût non naturel. Voici donc quelques conseils pour donner un peu plus de goût à l’eau.
Depuis plusieurs années, les photos de nourriture sont un élément fixe de les profils sur les médias sociaux et les boissons peuvent aussi être décorées sans trop d’efforts et ont aussi un goût fantastique!
La meilleure chose à utiliser est des fruits non traités et des herbes et épices fraîches. Ces ingrédients ont un goût particulièrement bon :
– Gousses de vanille
– Gingembre
Pour cela, coupez une demi pêche en fines tranches. Couper une gousse de vanille dans le sens de la longueur puis en petits morceaux. Ne grattez pas la pulpe de vanille, elle sera progressivement dissoute par l’eau. Placez les ingrédients avec l’eau dans une carafe en verre et laissez reposer toute la nuit.
Enlevez la peau d’un citron non traité et placez-le dans une carafe avec 2 branches de thym. Verser l’eau et laisser reposer le mélange pendant environ 6 heures.
Couper en fines tranches un quart de concombre et environ 2 cm de gingembre non pelé. Epluchez la mangue et coupez-la en petits morceaux. Versez le tout dans une carafe et remplissez-la d’eau. Laissez reposer le mélange pendant 6 heures.
Coupez un quart de concombre non pelé en fines lamelles. Ensuite, coupez 3 tranches de chacun des deux citrons non traités et d’une orange. Versez les ingrédients dans une carafe. Cueillez soigneusement les feuilles de deux tiges de menthe. Mettez-les dans la carafe avec un brin de romarin. Versez de l’eau sur les ingrédients. Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter quelques myrtilles ou fraises, qui donnent à l’eau un peu plus de douceur.
Coupez environ 200 g de melon d’eau en petits morceaux et mettez-les, ainsi que 6 à 10 feuilles de basilic, dans une carafe. Remplissez-le d’eau et laissez reposer le mélange pendant environ 6 heures.
Une alternative délicieuse et rapide à l’eau avec des fruits est l’eau avec du thé. Les possibilités sont presque illimitées pour la variété des goûts. Selon le thé que vous préférez, qu’il soit fruité, acidulé ou plutôt aux herbes, vous pouvez en utiliser n’importe quelle variété. Vous obtiendrez un résultat particulièrement doux si vous n’utilisez qu’un sachet de thé par litre d’eau.
Vous pouvez également infuser une tasse de thé et la mélanger plus tard avec un litre d’eau. Si vous souhaitez une infusion plus intensive, vous pouvez préparer environ 4 sachets de thé avec un litre d’eau. Ainsi, vous pouvez faire votre propre thé glacé. Comme le thé n’a presque pas de calories, c’est une alternative délicieuse et saine au thé glacé du supermarché. Vous voulez d’autres recettes pour un délicieux thé glacé fait maison ? Alors, jetez un coup d’œil à cet article : Faites votre propre thé glacé – facile, rapide et délicieux
Vous pouvez également affiner vos boissons pendant les chaudes journées d’été avec des glaçons aux fruits faits maison. De cette façon, vous ne donnez à votre boisson qu’une très légère note fruitée, qui s’intensifie progressivement.
Bouillez d’abord l’eau, afin que les glaçons soient ensuite bien transparents.
Remplissez le récipient à glaçons avec l’eau refroidie à température ambiante. Remplissez les chambres au quart de leur capacité et placez le moule dans le compartiment à glace de cette façon.
Une fois l’eau gelée, vous pouvez placer les morceaux de fruits sur la glace. Vous pouvez aussi faire des glaçons avec des herbes, comme la menthe. Laissez libre cours à votre créativité.
Puis remplissez complètement le bac à glaçons avec de l’eau et laissez-le à nouveau congeler.
Les glaçons n’ont pas seulement bon goût, mais ils attirent également l’attention dans n’importe quelle boisson !
C’est la fin de nombreuses chaudières. Depuis septembre 2015, la production de chaudières inefficaces est interdite dans toute l’UE. Cela concerne de nombreuses chaudières à basse température, mais pas toutes.
Similaire à l’interdiction des ampoules électriques, l’UE n’interdit que la production, mais pas la vente. Les chaudières à basse température produites avant le 26 septembre 2015 peuvent encore être vendues et installées. Les chaudières qui atteignent une efficacité énergétique minimale de 86 % pour le chauffage des locaux (ce qui est presque rien par rapport aux anciennes chaudières) peuvent également continuer à être produites. Avec cette interdiction, l’UE veut bannir les technologies à condensation obsolètes et inefficaces des ménages européens.
L’UE veut forcer le retrait du marché des chaudières à basse température inefficaces afin de faire baisser le prix des chaudières à condensation plus efficaces. Ce faisant, elle poursuit la même stratégie qu’avec l’interdiction des ampoules électriques. Vous vous en souvenez peut-être : dans toute l’Union européenne, les ampoules de 100 watts n’étaient plus autorisées à être mises sur le marché. Mais les ampoules mises sur le marché avant septembre 2009 étaient toujours autorisées à être vendues. L’interdiction des chaudières inefficaces suit le même principe. L’UE espère que l’interdiction entraînera une baisse des prix des chaudières à condensation et chassera progressivement les chaudières basse température les plus inefficaces des ménages européens.
Les consommateurs ne sont pas directement concernés par l’interdiction des chaudières basse température inefficaces. Ainsi, si vous chauffez avec un système de chauffage à basse température, vous n’avez pas à le remplacer.
L’interdiction à l’échelle européenne ne concerne que les producteurs de chaudières à basse température inefficaces. Tant que le commerce dispose de vieilles chaudières à basse température en stock qui ont été produites avant le 26 septembre 2015, vous pouvez les acheter et les installer.
Une liste de toutes les chaudières basse température encore disponibles peut être trouvée ici. Si une chaudière basse température fait partie de ces exceptions ou atteint un rendement énergétique de 86 % pour le chauffage des pièces (label d’efficacité A), elle peut encore être produite et vendue. Pour un échange de chaleur normal, cependant, ces exceptions ne sont pas pertinentes.
Les chaudières à basse température d’une puissance supérieure à 400 kW peuvent toujours être produites, vendues et installées.
Exception à l’interdiction des chaudières basse température : les systèmes de chauffage par le sol à gaz dépendant de l’air ambiant dans les immeubles d’habitation qui partagent une cheminée.
La raison de cette exception est que si même un de ces systèmes de chauffage au gaz devait être remplacé par un système de chauffage au gaz avec une chaudière à condensation, tous les autres systèmes de chauffage au gaz devraient également être remplacés. C’est pourquoi les systèmes de chauffage par le sol au gaz avec des chaudières à basse température qui dépendent de l’air ambiant peuvent encore être produits, vendus et installés. Ils ne sont pas concernés par l’interdiction.
Selon cette logique, cependant, les chaudières à gaz indépendantes de l’air ambiant devraient également être exemptées de l’interdiction des chaudières à basse température. Mais ce n’est pas (encore) le cas. L’Association fédérale des sociétés allemandes de logement et d’immobilier (GdW) fait actuellement campagne en ce sens. Une décision est toujours en attente.
En Allemagne, 14 des 19 millions de chaudières à mazout et à gaz sont encore des chaudières à basse température. Il y a donc là une grande opportunité de réduire la consommation d’énergie dans toute l’Allemagne.
Pour une chaudière à condensation normale dans une maison individuelle standard d’environ 150 mètres carrés (30 000 kWh de chauffage par an) et de deux étages, vous payez actuellement un total d’environ 6 000 à 9 000 euros. Au total, vous payez environ 1 000 à 2 000 euros de plus pour la technologie à condensation que pour la technologie classique de valeur calorifique dans les chaudières à basse température. Cela est également dû au fait que l’installation de la technologie des chaudières à condensation implique également des travaux sur la cheminée.
Cependant, ces coûts sont amortis relativement rapidement car les frais de fonctionnement sont beaucoup plus faibles avec la technologie des chaudières à condensation. Les frais de fonctionnement annuels d’un système de chauffage à basse température sont d’environ 2 000 euros par an. Avec la technologie moderne des chaudières à condensation, vous pouvez économiser environ 10 % d’énergie et donc les frais de chauffage correspondants.
La rénovation du système de chauffage par la technologie des chaudières à condensation est donc amortie au bout de 5 à 10 ans environ. La durée de cet amortissement dépend des coûts engagés pour la modernisation du système de chauffage. Vous pouvez en savoir plus à ce sujet ici. La durée de vie d’un nouveau système de chauffage est généralement de 25 ans.
Une des raisons de l’interdiction des chaudières à basse température est le rendement plus élevé de la technologie de condensation. Une chaudière à condensation a un degré d’efficacité de près de 100 %. En effet, la technologie de condensation utilise également la chaleur des gaz de combustion pour chauffer l’eau de chauffage. Contrairement à la technologie de condensation, la chaleur des gaz de combustion ne disparaît pas simplement par la cheminée, mais est réutilisée. C’est pourquoi les chaudières à condensation fonctionnent jusqu’à 15 % plus efficacement qu’une chaudière basse température.
Cependant, seul un tiers des quelque 5 millions de chaudières à condensation en Allemagne sont réglées de manière optimale. Les deux autres tiers ne fonctionnent donc pas au rendement maximal possible.
Pour tirer le meilleur parti de votre chaudière à condensation, vous devez régler l’ensemble du système de chauffage au meilleur niveau possible :
L’équilibrage hydraulique permet une distribution optimale de l’eau de chauffage dans le réseau complet de votre installation de chauffage. De cette façon, tous les radiateurs se réchauffent uniformément et la température de retour de l’eau de chauffage reste basse. L’équilibrage hydraulique doit être effectué par un spécialiste. L’équilibrage hydraulique comprend généralement aussi les points 2 et 3 suivants.
Les chaudières sont souvent surdimensionnées parce que les propriétaires ou les artisans n’estiment que la charge de chauffage ou utilisent l’ancien appareil comme guide. Une chaudière surdimensionnée s’use plus rapidement car elle s’allume et s’éteint plus souvent et entraîne des coûts supplémentaires en raison de ce fonctionnement inefficace.
Pour que les gaz de combustion chauds se condensent de manière optimale et transfèrent leur chaleur à l’eau de chauffage, la température de retour de l’eau de chauffage doit être aussi basse que possible. Ceci est réalisé grâce à une température de flux basse. Vous pouvez régler la température de départ via la courbe de chauffe. Veillez toutefois à ce que les pièces soient encore suffisamment chaudes.
Si de nouveaux tuyaux de chauffage sont posés dans des zones non chauffées, ils doivent être isolés conformément à l’EnEV, car sinon une grande partie de l’énergie est libérée dans la cave sans être utilisée. Si vous avez encore des tuyaux non isolés ou mal isolés dans la cave ou le couloir, vous pouvez simplement les isoler par la suite avec un isolant pour tuyaux ronds de forme spéciale.
Seul un réglage optimal de la chaudière à condensation permet de réaliser des économies. Vous ne devez donc pas économiser au mauvais endroit en essayant de régler vous-même votre chaudière à condensation sur le réglage optimal. Investissez plutôt dans le travail d’un professionnel et faites des bénéfices à long terme.
L’UE veut interdire aux ménages européens la technologie de condensation ancienne et inefficace en interdisant les chaudières à basse température. Au lieu de cela, la nouvelle technologie de la chaudière à condensation, plus efficace, doit être introduite. En interdisant les chaudières à basse température, l’UE espère donc réduire la consommation d’énergie à l’échelle de l’Union. Rien qu’en Allemagne, 14 des 19 millions de chaudières à pétrole et à gaz sont encore des chaudières à basse température, le potentiel d’économies est donc énorme. L’interdiction des chaudières à basse température devrait également faire baisser le prix des chaudières à condensation, car celles-ci ont augmenté de 25 % depuis 2000.
Vous aussi, vous pouvez réduire vos frais de chauffage grâce à une nouvelle chaudière à condensation. Si les prix des chaudières à condensation devaient baisser, comme le souhaite l’UE, les coûts d’investissement seraient également amortis plus rapidement. Cependant, vous devez vous assurer que vous n’économisez de l’argent avec une chaudière à condensation que si vous avez tout réglé correctement.
En général, cependant, les dispositions suivantes s’appliquent : il n’y a pas d’obligation de remplacer la chaudière. Vous pouvez donc continuer à chauffer avec votre chaudière basse température et ne devez pas la remplacer du tout. Cependant, si la chaudière existante a plus de 20 ans, vous devriez penser à remplacer le système de chauffage, car vous pouvez faire des économies.
On peut envisager des solutions basées sur le marché par le biais de droits de pollution (certificats) et en second lieu une solution de prélèvement. Par rapport à la solution du certificat, les solutions fiscales présentent l’inconvénient que l’objectif de réduction n’est atteint que par hasard. Cette situation est aggravée par le fait que des problèmes de distribution se posent. Néanmoins, la discussion politique va actuellement dans le sens d’une taxe sur le CO2. Qu’est-ce qui devrait être pris en compte dans sa mise en œuvre en ce qui concerne une réduction de CO2 honnêtement ciblée et quelles réglementations d’accompagnement de la politique environnementale existantes sont contre-productives ?
L’idée de base d’une taxe sur les émissions de CO2 est, comme pour une solution de certificat, l’internalisation des effets externes, c’est-à-dire ici la tarification des dommages environnementaux, et donc l’orientation vers une réduction des émissions de CO2. Une taxe sur le CO2 augmente les prix et les émetteurs calculent s’il n’est pas moins cher d’éviter les émissions de CO2. Ceux qui peuvent le faire à moindre coût le feront, tandis que ceux pour qui c’est cher ne le feront pas.
Ainsi, les effets de prix conduisent à une réduction des émissions au coût le plus bas possible. Par rapport à la solution du certificat, il est toutefois difficile de fixer un taux de prélèvement qui permette d’atteindre exactement la quantité de réduction visée. En outre, les entités économiques doivent supporter la charge de la taxe en plus des coûts de la réduction des émissions. Il en résulte alors un différend sur la solution du problème de la répartition qui peut difficilement être résolu sans conflit.
Pour garantir l’efficacité environnementale et économique de l’instrument, toutes les émissions de CO2 doivent être soumises à la même taxe. Une exception ne peut s’appliquer que si l’effet sur l’environnement est différent. Cela serait concevable, par exemple, si les émissions de CO à des niveaux plus élevés étaient particulièrement nocives, raison pour laquelle il faudrait imposer un prélèvement plus élevé.
Un prélèvement est actuellement en discussion, principalement sur les combustibles de chauffage et les carburants. Pour obtenir l’effet souhaité en matière de politique environnementale, par exemple dans le secteur des transports pris isolément, la réflexion ne doit pas s’arrêter à la charge des carburants. On peut facilement l’illustrer en comparant des véhicules équipés de moteurs à combustion et de moteurs électriques à batterie. Dans ce dernier cas, une partie considérable des émissions de CO2 est produite lors de la fabrication de la batterie. Pour qu’une taxe sur le CO2 ait un effet d’entraînement, il est donc essentiel que les émissions de CO2 provenant de la fabrication de tous les véhicules soient également soumises à la taxe.
Une taxe serait également nécessaire pour les importations en provenance de l’UE, à moins qu’un prix uniforme du CO2 ne soit introduit dans l’UE. Serait-ce compatible avec le droit européen ? Si une taxe sur le CO2 bien conçue était introduite, une augmentation du prix des véhicules électriques à batterie serait inévitable en conséquence. En outre, afin de ne pas compromettre l’effet de pilotage de la taxe, les subventions pour ces véhicules devraient être progressivement supprimées. D’une part, il s’agit de subventions à l’acquisition, mais aussi, par exemple, de réductions de la taxation des voitures de société.
Un exemple particulièrement flagrant de mauvaise direction a été récemment publié dans la section Technologie et moteur. On y a calculé qu’en raison des avantages fiscaux, il valait la peine d’acheter le modèle hybride d’un SUV qui avait consommé 44 kWh au lieu de la valeur standard de 22 kWh en fonctionnement d’essai hivernal. Comme la petite batterie ne s’étend pas trop loin, le moteur à combustion, qui a consommé en moyenne 13 litres d’essence super pendant le test, doit souvent intervenir. Oubliez la consommation standard. Selon l’expérience du testeur, le véhicule sans propulsion hybride a besoin d’environ 2 litres de moins avec un moteur diesel. Question : la subvention a du sens ?
Environnementalement, la charge sur la production des véhicules semble également nécessaire simplement parce que la production en masse de véhicules électriques à batterie entraînerait rapidement des émissions gigantesques de CO2. Le problème environnemental serait encore aggravé par les conséquences de l’accélération du réchauffement climatique qui en résulterait. Si la taxe sur le CO2 était correctement conçue et que chaque émission de CO2 causée était également soumise à une charge égale, cela permettrait également de désamorcer quelque peu la controverse sur la question de savoir si une réduction significative du CO2 peut être obtenue avec des véhicules électriques à batterie ou, comme il y a beaucoup à dire à ce sujet, le diable serait chassé avec Belzébuth et les émissions de CO2 augmenteraient même globalement.
Il convient d’ailleurs de noter qu’une taxe sur le CO2 vise à réduire les émissions de CO2. Cela touche donc également les parties socialement plus faibles de la population. Si l’on veut avoir un effet sur l’environnement, c’est inévitable. À cet égard, l’exigence d’une conception socialement acceptable est une contradiction dans les termes. En outre, pour être efficace, toutes les émissions de CO2 significatives doivent être incluses de manière égale dans le système de prélèvement. Restreindre la taxe au seul secteur des transports et de la production de chaleur limiterait considérablement son efficacité en tant qu’instrument de politique environnementale.
En outre, une application parallèle de la solution du certificat et d’une solution fiscale pourrait remettre en question son efficacité. Même la fixation par l’UE d’une valeur d’émission de CO2 nulle pour les véhicules électriques lors du calcul des émissions du parc automobile des constructeurs est une absurdité au vu des émissions réelles.
Des vues raccourcies avec des mesures absurdes ont déjà été montrées, par exemple, dans le cas d’une réduction de CO2 dans le secteur de la production d’électricité, sans réduction suffisante des certificats de CO2 circulant en Europe. Le prix des certificats a considérablement baissé et une réduction nécessaire des émissions de CO2 ailleurs en Europe n’a pas été atteinte. La discussion actuelle sur une taxe sur le CO2 montre souvent un manque de compréhension des interrelations, ce qui fait craindre la création d’un instrument absurde en termes d’économie de l’environnement et par conséquent de politique environnementale. Un exemple en est la production de biocarburant, qui a été propagée dans le passé en termes de politique environnementale, et qui a contribué à la combustion des forêts tropicales humides pour produire de l’huile de palme.
En fin de compte, cela a conduit à s’éloigner des objectifs de la politique environnementale au lieu de s’en rapprocher. D’autres exemples sont la collecte séparée discutable des déchets d’emballage. Il est peu probable que les quantités de CO2 que nous économisons aient un effet significatif sur le climat mondial. Néanmoins, ne serait-ce qu’en raison des émissions élevées par habitant, vous devriez faire un plus grand effort pour faire quelque chose, mais s’il vous plaît avec une action efficace. Une mesure rapide pourrait consister à éviter les émissions de CO2 dans la sphère de la consommation. Tout le monde peut faire quelque chose rapidement.
Dans le secteur des transports, il serait également utile de transférer la taxe sur les voitures à la taxe sur les huiles minérales. Néanmoins, à moyen et long terme, il faut remplacer efficacement la production d’énergie à partir de combustibles fossiles. L’extension du système d’échange de certificats au niveau européen serait également une mesure judicieuse. Mais comme, sur la base d’estimations réalistes, tout cela ne se fera pas au niveau mondial dans la mesure nécessaire, mon seul espoir réside dans les progrès techniques qui permettront de retirer à nouveau le CO2 de l’atmosphère.
Il faudrait ici apporter un soutien beaucoup plus important, au lieu de subventionner des voitures de société manifestement nuisibles à l’environnement ou d’introduire une taxe sur le CO2 absurde. L’espoir meurt en dernier.
Le lien entre les champs électromagnétiques : CEM et les maladies !! L’agence de recherche sur le cancer de l’OMS, le CIRC, a conclu que les rayonnements haute fréquence dans la gamme de fréquences de 30 kHz à 300 GHz sont probablement cancérigènes. Cependant, des lignes directrices inadaptées à la protection contre les dommages sanitaires dus à une exposition chronique sont toujours en vigueur.
Il ne s’agit pas de diaboliser toutes les communications sans fil. Mais au-delà d’un certain niveau, l’organisme ne peut plus compenser certains facteurs d’interférence, comme il l’est souligné dans le dernier article sur la base de nombreuses données d’études. Comme souvent, c’est surtout la dose qui fait le poison. Depuis environ 20 à 30 ans, il a eu une exposition sans précédent à divers CEM, de la naissance à la mort. Même le téléphone portable le moins rayonnant génère un champ d’énergie environ 1 million de fois plus puissant que les champs des cellules de notre corps qui communiquent par des signaux bioélectriques. Les risques biologiques sont connus : attendre les dernières preuves scientifiques pourrait entraîner des dommages sanitaires et économiques élevés, comme ce fut le cas pour l’amiante.
Le fait que l’industrie n’ait pas encore été en mesure d’identifier les effets nocifs des rayonnements des téléphones portables sur la santé est dû au fait qu’elle ne les a pas recherchés. Le fait de le vendre comme le tout clair qu’aucune influence négative n’a pu être prouvée avec des dispositions de test éloignées de la pratique et des périodes d’observation les plus courtes de 3 jours maximum est non seulement trompeur, mais aussi irresponsable. On compare la situation à celle de l’ivrogne qui ne cherche que la clé perdue sous la lanterne parce qu’elle y est plus lumineuse. Il a été confié à l’Office fédéral des télécommunications, l’autorité de régulation actuelle de préparer des résultats de recherche sur les dangers des rayonnements micro-ondes. Les recherches ont révélé des données très inquiétantes.
Cependant, les résultats ont été versés directement dans les archives et les autorités de l’État n’ont pas montré plus d’intérêt. Tant que la politique et l’industrie ne sont pas obligées de réagir aux voix de plus en plus fortes, il ne faut pas rester les bras croisés. En attendant, chaque individu peut essayer de minimiser les risques de dommages pour la santé. Utiliser les technologies avec bon sens et raison, peu d’efforts, beaucoup de pertinence dans la vie quotidienne. Combien de personnes passent plusieurs heures par jour avec leur téléphone portable juste à l’oreille, le reste du temps dans la poche de leur pantalon, même la nuit éventuellement sur la table de nuit, et en plus ont leur WLAN activé jour et nuit à pleine puissance de signal, bien que cela puisse être réglé à la baisse avec la plupart des routeurs sans perte de vitesse. Là où le contact avec les CEM est inévitable, il faut se protéger.
Ceux qui doivent porter un téléphone DECT avec eux dans la clinique, allumé toute la journée, peuvent porter un tissu de protection sur le côté faisant face au corps, par exemple. Il existe également des housses pour les téléphones portables, souvent avec des fils d’argent, qui ne laissent passer qu’une partie du rayonnement. Si vous êtes assis sur un lieu de travail pendant une longue période : recherchez la plus grande distance possible de l’appareil, l’intensité du rayonnement diminue avec le carré de la distance. Si vous devez absolument passer des appels mobiles, utilisez un casque filaire. Heureusement, vous voyez rarement cette image, mais la pire option que vous puissiez choisir est de garder votre téléphone portable dans une poche juste à côté de votre cœur ou de vos organes reproducteurs et de porter une oreillette Bluetooth sur votre oreille, car cela génère des radiations à un degré qu’aucun téléphone portable ne produirait directement sur votre tête.
En outre, il existe de petites puces qui fonctionnent avec des circuits oscillants ouverts, pour coller sur les appareils mobiles ou de minces disques en aluminium avec une fine couche de cristal, à placer près des sources de CEM ou même dans votre poche, qui n’éliminent pas le problème mais désamorcent l’influence pathologique. Au fait, Tesla a déjà abordé l’idée de base d’influencer ces oscillations et ces champs. Faites vos recherches de manière approfondie, il existe des aides très utiles et efficaces, mais malheureusement il y a aussi toujours des articles de blagues.
Le mieux, cependant, est de couper le jus à la source du problème. À la maison, n’allumez le WLAN que s’il est vraiment nécessaire d’utiliser les connexions de nuit et utilisez les options câblées dans la mesure du possible. Même au cinéma, pendant les heures d’école, pendant les tournées ou sur la table d’opération, où l’on ne peut de toute façon pas répondre au téléphone, beaucoup de gens mettent leur téléphone en mode silencieux au lieu de l’éteindre correctement. Le prochain message Whatsapp, est-il si vital ou est-on tellement accros à ce message qu’il ne faut même pas rester une heure sans regarder l’appareil ? C’est souvent plus une mauvaise habitude qu’une nécessité urgente. Si vous voulez en savoir plus, vous n’avez pas à dépenser des sommes énormes pour des appareils de mesure sensibles. Vous pouvez les louer par la poste.
Après quelques jours, vous pouvez facilement renvoyer la valise grâce à l’étiquette de retour jointe. Vous pouvez ainsi vérifier quels appareils jettent le plus de saletés à la maison ou au bureau, si les stations de recharge, le bureau ou le lit seraient mieux placés ailleurs, etc. Il est également possible de contrôler le succès des papiers peints, tissus ou peintures de protection. Que signifie, « progrès » ? La liste est longue, à titre d’exemple les millions de paquets de données inutiles envoyés par radio électricité ou par les compteurs d’eau toutes les 10 à 16 secondes, même si, comme c’est le cas traditionnellement, un seul relevé est utilisé pour la facturation annuelle.
Afin de traverser d’épais murs de béton et sur de longues distances, on utilise des forces de transmission massives. Dans de nombreux endroits, ces compteurs intelligents sont déjà en cours de modernisation avec les coûts correspondants. Si on se concentre sur le progrès réel, non seulement industriel et économique, vous ne faites pas seulement quelque chose pour notre propre santé et celle de nos patients, mais aussi pour la santé de nos enfants, de nos petits-enfants et de la planète.
L’introduction généralisée de la technologie 5 G telle qu’elle est actuellement ne doit pas se produire. C’est également le message d’un appel lancé par les médecins à l’OMS, aux Nations unies et aux gouvernements de tous les pays. Ils estiment que le mandat de l’ICNIRP, la commission internationale de protection contre les rayonnements non-ionisants, qui consiste à fournir des lignes directrices en matière d’exposition, doit être fondamentalement remis en question en raison de ses liens avec l’industrie.
L’opinion de l’ICNIRP n’est pas cohérente avec la science dans son ensemble. Ses lignes directrices ne prennent pas en compte l’exposition à long terme et les effets des faibles intensités et protègent l’industrie, et non la santé publique.
Les vertus thérapeutiques de l’eau de mer étaient déjà connues dans l’Antiquité par les Egyptiens, les Grecs et les Romains. Plus récemment, à partir du 18ème siècle, grâce aux études du Dr Richard Russel (1687-1759), a débuté ce que l’on définit comme la « thalassothérapie moderne », comprise comme une méthode naturelle de prévention et de traitement qui utilise l’action unique ou combinée des ressources dérivées du milieu marin : climat, sable, algues, boue et surtout eau de mer.
Aujourd’hui, les vertus extraordinaires de ces ressources et de la thalassothérapie sont de plus en plus appréciées dans la recherche de la récupération de la forme idéale et du bien-être psycho-physique, si miné et souvent compromis par les rythmes de la vie quotidienne.
Les propriétés bénéfiques du milieu marin concentrées dans les algues ne restent intactes et efficaces que lorsque les plantes les plus jeunes et les plus vitales sont sélectionnées, séchées et traitées « avec art ». Ainsi, la richesse inégalée en minéraux, oligo-éléments et vitamines qui les distinguent peut « libérer » dans toute sa plénitude et favoriser la tonicité, la douceur, l’hydratation et la reminéralisation du tissu cutané, en stimulant également le drainage, en régulant l’équilibre hydrolipidique et en retardant le vieillissement. Les algues marines sont vraiment uniques dans la « connaissance » pour concentrer au maximum
Les herbes sont utilisées avec succès en cuisine et en phytothérapie. Elles contiennent des minéraux et des métalloïdes en abondance : iode, jusqu’à 1 el leur poids sec, magnésium, potassium, calcium, fer, aluminium, manganèse, phosphore, soufre, cuivre, nickel, or, zinc, cobalt, strontium, titane, vanadium, étain, rubidium, silicium. Ces plantes marines ont été appelées à juste titre « concentrés d’eau de mer ». Les algues marines contiennent également de la diastase et des vitamines (A, B, C, D1, D2, E, F, K, PP), des acides aminés (acide glutaminique, cystine, méthionine, leucine, valine, tyrosine, lysine, acide aspartique), des glucides, des graisses, beaucoup de chlorophylle, du mucilage, des substances antibioriques, etc.
Les algues sont des organismes végétaux simples d’origine très ancienne (2,7 milliards d’années). Il existe des milliers d’espèces pouvant être classées selon leur couleur prédominante (bleu, jaune, vert, brun et rouge).
L’habitat des algues est constitué par les eaux des mers, des rivières et des lacs, à condition qu’elles soient suffisamment exposées à la lumière du soleil. La photosynthèse se produit dans les cellules des algues qui, grâce à la chlorophylle, permet la production de molécules organiques à partir du dioxyde de carbone (CO2) avec libération d’oxygène. En réalité, dans leur ensemble, les algues sont les plus grands producteurs d’oxygène de la planète.
Elles sont caractérisées par :
Ces caractéristiques peuvent compenser les déséquilibres alimentaires des pays industrialisés, en particulier l’apport calorique excessif associé à des carences en micronutriments dues aux diverses manipulations auxquelles les aliments sont soumis. L’ajout d’algues dans nos plats de légumes, de légumineuses ou de poissons peut ainsi garantir un complément nutritionnel valable sans avoir à recourir à des compléments synthétiques.
Ils sont également indispensables pour ceux qui suivent un régime végétarien pour la présence de protéines et de vitamine B12.
Le rapport entre les différents nutriments varie selon les espèces, mais en général les algues excellent pour leur teneur en :
L’acide alginique, présent par exemple dans les algues Fucus (aussi appelées Kelp) et Kombu, a la propriété particulière de fixer les métaux lourds (dont le mercure, le cadmium, le plomb) et de favoriser leur élimination : il est également utile en cas de reflux gastro-œsophagien car il protège les muqueuses et facilite le transit des résidus alimentaires indigestes.
Les algues maritimes possèdent de nombreuses propriétés. Voici celles que vous devez retenir.
Les algues peuvent être utilisées comme complément pour ceux qui suivent un régime alimentaire peu varié et/ou avec de nombreux aliments raffinés, prévention de diverses pathologies, thérapie complémentaire en association avec des médicaments ou des remèdes naturels, entretien pour lutter contre le vieillissement, éviter la récidive de pathologies antérieures, ralentir les phénomènes dégénératifs
Les algues, comme nous l’avons mentionné, sont utiles à bien des égards et leurs bienfaits sont nombreux pour la santé. Il existe des cas précis où il est recommandé d’en consommer.
Il existe plusieurs comités environnementaux en Italie. Si votre commission ne figure pas dans cette liste, veuillez le signaler à info@inquinamento-italia.com (en indiquant le nom de la commission, la municipalité où elle se trouve, le lien vers la page Facebook et vers le site web, le cas échéant). Idem pour les autres commissions que vous connaissez.
Comité Che Aria Respiro – Turin (TO)
Commission de contrôle de la centrale de valorisation énergétique de Turin – Turin (TO)
Comité No Incinérateur de Torino Gerbido – Torino (TO)
Comité « Respiration » de Turin – Turin (TO)
Comité No Asbestos in Barengo – Barengo (NO)
Comité de supervision nucléaire – Trino Vercellese (VC)
Comité No Landfill Cinquini – Molino dei Torti (AL)
Comitato di Rivalta Sostenibile – Rivalta di Torino (TO)
Comité Port ouvert – Gênes (GE)
Comité Savona Porto Elettrico – Savona (SV)
Comité des citoyens pour l’air – Milan (MI)
Comité I Love Giussago – Giussago (PV)
Comité de l’environnement et de la santé de Casarile – Casarile (MI)
Comité No Fanghi à Lomellina – Mortara (PV)
Comité civique Lomellina Respira – Tromello (PV)
Comité Pas d’incinérateur Rétorbide – Rétorbide (PV)
Comité des citoyens libres pour la santé – Sarezzo (BS)
Pas de comité central de la biomasse à Rodengo Saiano – Rodengo Saiano (BS)
Non au Comité de l’incinérateur de Mantoue – Mantoue (MN)
Comité de l’air pur G.A.E.T.A. – Schivenoglia (MN)
Assemblée Pas de Biogaz Via Novara – Legnano (MI)
Comité n° à la décharge de Monte Castra – Strozza, vallée de l’Imagna (BG)
Clean Air Hub – Comité du Hub (BG)
Commission de l’environnement Verbano – Cittiglio (VA)
Comité pour le droit à la santé Val di Non – Val di Non (TN)
Commission 26 janvier – Telve Valsugana (TN)
Commission Busa di Tione – Saône (TN)
Numéro de comité pour la centrale à biomasse de Ledro – Ledro (TN)
Comité San Foca del Friuli – San Foca (PN)
Comité Marcia Stop Pesticides – Pieve di Soligo (TV)
Comitato Sinistra Piave Liberi dai Veleni – Trichiana, Limana, Mel, Lentiai (BL)
Comité foncier du Pfas – Padoue (PD)
Comité Zéro Pfas Montagnana – Montagnana (PD)
Comité Environnement et Santé Cervarese Santa Croce – Cervarese (PD)
Comité No Grandi Navi – Venise (VE)
Comité No Biogaz Thiene Villaverla – Villaverla (VI)
Comité Pure Hills « Collabrigo Breathe » – Collabrigo (TV)
Commission de la biomasse à neuf – neuf (VI)
Commission contre le gazogène Valproto – Cinquième Vicentine (VI)
Comité No Biogaz Papozze – Papozze (RO)
Comité anti-décharge Ca’ Balestra – Villafranca (VR)
Comité n° Antennes sur la Torricelle – Vérone (VR)
Comité de Vérone Sud – Vérone (VR)
Comitato No Elettrodotto Aereo – Riviera del Brenta (VE)
Comité des citoyens sans antenne à Percoto – Percoto (UD)
Comité Aria Pesa – Bologne (BO)
Comité de l’air pur Emilia Romagna – Ferrara (FE)
Comité de l’air pur pour Cadelbosco – Cadelbosco di Sopra (RE)
Comité « Non au biogaz » – Forlimpopoli (FC)
Comité Mères sans incinérateur – Florence (FI)
Comité No Wi-Fi Toscane – Florence (FI)
Comité de l’air pur Viareggio et environs – Viareggio (LU)
Réseau environnemental de la Versilia – Viareggio (LU)
Comité Via Matteotti No Elettrosmog – Viareggio (LU)
Comitato Pedona Ambiente e Salute – Camaiore (LU)
Comité anti-pollution Castelfranco di Sotto – Castelfranco di Sotto (PI)
Comité Thallium à Pietrasanta – Pietrasanta (LU)
Comité de défense de la santé Prato Sud – Prato (PO)
Comité MaremmAttiva – Pitigliano et Sorano (GR)
Pas de comité central dans le domaine de la biomasse – Roccastrada (GR)
Comité haute tension – San Leolino Bucine (AR)
Comité Pas d’incinérateur dans les Marches – Macerata (MC)
Comité de sauvegarde de la santé – Macerata (MC)
Comité No Crem – Civitanova Marche (MC)
Comité n° Décharge Magliano Romano – Magliano Romano (RM)
Comité Anzio No Biogas – Anzio (RM)
Comité d’arrêt des antennes – Velletri (RM)
Comité No Miasmi et défense territoriale – Neptune (RM)
Comité No Biogas Latina – Latina (LT)
Comité de la santé contre l’électrosmog – Vicovaro (RM)
Comité No Biomethane Artena – Artena Coluber (RM)
Comité « Non au biogaz » Pomezia – Pomezia (RM)
Comité No Décharge Source Nocera – Source Nocera (RI)
Commission de l’environnement Sant’Eutizio – Soriano del Cimino (VT)
Commission de l’environnement et de la défense du territoire de Canino – Canino (VT)
Comité Pas d’incinérateurs Terni – Terni (TR)
Comité de l’environnement et de la santé (Calzolaro, Trestina, Altotevere Sud) – Calzolaro (PG)
Comité « Zéro incinérateurs » – Pietramelina (PG)
Commission de défense de l’eau et de l’air de Bevagna – Bevagna (PG)
Pas de comité central de la biomasse à Fabro et Città della Pieve – Fabro (TR)
Martinsicuro Commission de défense de l’environnement – Martinsicuro (TE)
Comité No Biomass L’Aquila – L’Aquila (AQ)
Comité de défense du fleuve Liri – Civitella Roveto (AQ)
Comité Pas de pétrole / Pas de GPL Ortona – Ortona (CH)
Commission n° Antennes Pescara Colli – Pescara (PE)
Comité n° de l’antenne Ofena – Ofena (AQ)
Commission n° 380 kV Ligne électrique Villanova-Gissi –
MOLISE
Comité des mères pour la santé et l’environnement – Venafro (IS)
Incinérateurs de serrures de comité – Isernia (IS)
Comité des mères volcaniques – Boscoreale (NA)
Comité de la santé et de la vie – Salerne (SA)
Comité pour l’Agro Caleno – Calvi Risorta (CE)
Terra Amica – Comité Sparanise (CE)
Comité pour la protection de la santé et de l’environnement de Alife – Alife (CE)
Comité civique pour la protection et la sauvegarde de Rocca D’Evandro – Rocca D’Evandro (CE)
Comité « Pas d’électrosmog », retirer l’antenne aux mineurs – Mineurs (SA)
Comité pour Tarente – Taranto (TA)
Comité plénier des poumons Brindisi – Brindisi (BR)
Comité de vérité pour Tarente – Taranto (TA)
Pas de Comité central Biométhane Monteroni – Monteroni (LE)
Comité No Incinérateur de Borgo Tressanti – Cerignola (FG)
Comité sur l’électrosmog Municipalité de Bari – Bari (BA)
Comité Aradeo Surveillance de l’électrosmog – Aradeo (LE)
Comité No al Borgo delle Antenne – Specchia (LE)
Comité Liberiamo la Basilicata – Potenza (PZ)
Comité pour la protection de l’environnement et de la santé Basilicate – Potenza (PZ)
Comité des citoyens Droit à la santé – Sink (PZ)
Comité n° Incinérateur Matera – Matera (MT)
Comité 7 août – San Ferdinando (RC)
Comité civique « Natale De Grazia » – Amantea (CS)
Comité contre la mise en décharge de Scala Coeli – Scala Coeli (CS)
Comité No Décharge de Pianopoli – Pianopoli (CZ)
Le comité des centrales à biomasse à Sila ? Non merci – Bakers, Rowan, Colosimi, Relatives (CS)
Comité contre la pollution électromagnétique à Enna – Enna (EN)
Comité No Muos – Coordination régionale
Commission Mamme No Muos Niscemi – Niscemi (CL)
Comité « Stop Poisons » – Augusta (SR)
Comité « Pas de biomasse, pas de pyrolyse » – Torrenova (ME)
Comité No Impianto S. Biagio – Francofonte (SR)
Comité No Pyrolyse Aci Sant’Antonio – Aci Sant’Antonio (CT)
Comité Non Chimie Verte – Pas d’incinérateurs – Porto Torres (SS)
Comité contre l’énergie nucléaire en Sardaigne – Cagliari (CA)
Comité sarde des scories nucléaires – Cagliari (CA)
Comitato Rumore No Grazie di Marina e Stampace – Cagliari (CA)
Considérant qu’il n’y a pas de recensement des comités spontanés en Italie luttant pour des questions liées à la pollution déjà en cours ou potentielle, ce du recensement du 12/11/18 est nécessaire, la centaine de comités sont déjà présents dans cette base de données publique (présentée sur cette page) selon la principale cause de conflit pour laquelle ils luttent.
Comme vous pouvez le voir, au moins un quart des comités ont été créés pour lutter contre l’installation d’incinérateurs, d’usines de biogaz ou de biomasse. Pourtant, comme un quart du total des comités s’occupent de plusieurs causes de conflit (« Divers »), raisonnablement, la moitié des comités italiens spontanés luttent contre les moyennes ou grandes installations polluantes.
Ces installations se caractérisent par une combustion à haute température, qui est généralement destinée à être effectuée à des fins purement spéculatives, en troquant le gain de quelques-uns contre la santé de beaucoup et la valeur des maisons, qui peuvent dans certains cas devenir presque invendables à cause des « odeurs », comme cela peut également arriver pour les maisons situées à proximité de terrains arrosés de « boues d’épuration », toutes situations impliquant des niveaux de vie inacceptables.